

Mon intérêt grandissant de la matière et de la dégénérescence de cette derniière, m’a conduit a observer le matériau le plus commun qui nous entoure « Le Plastique»
Ici je me suis concentré sur cette matière carbonisée, utilisant à nouveau le phénomène de la paréidolie. Les réminiscences de ma carrière dans la mode m’ont amené à percevoir des formes de plissements, de drapés d’étoffes précieuses, brodées épousant des corps féminins imaginaires.
Ainsi par cette vision surréellle et poétique, j’amène le spectateur à travers la transformation de cette matière dégénérée, vers une transcendance hors du temps qui consacre le sens précaire de l’existence.
texte Richard Meier extrait du livre d’artiste Didier VAN DER BORGHT «D’écumes noires» Voix éditions
Plissements
D’écumes noires
Danse de lumière
du noir d’écume en condensation
écris ta crétion
corps de ballet et déploiement
de voiles
Noir de musique
déployé
De rayon lumineux
Noir
à l’abolition des corps
disparaitre mais aussi apparaitre
action
danse
Transition
Ballet sensible
Les noirs se fondent les uns dans les autre
vagues
Eaux noires
écume blanchâtre
imiter un corps dans la courbe des vagues
Motif musical
Phrasé noir
«Le corps charmait d’etre introuvable» écrit Georges Rodenbach et Parsifal la flamme de rouge passe au noir “des rapidité
de passions, délices, deuil, colère” dixit Schopenhauer
Tenue noire de circonstance
Charme
Les grandes tenues de nos jours
Ténébreuse rêvie ou caprices de notre temps
L’assassin de lumière
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